Ah ! ces bons vieux photo-romans italiens à la sauce krimi-ringarde, avec ces gonzes mastards à faussette au menton qui se bigornent sec la trombine, ces enquêteurs miteux qui traînent leurs déductions comme d’autres leur gueule de bois et ces girondes petites mousmées qui se déloquent à l’improviste pour le plus grand plaisir de l’internationale des pervers-zieuteurs que nous autres, bibliophages d’occase, constituons.
Ce sujet-là, c’est un peu la manne du Müller-Fokker, et les billets du vieux blog seront peu à peu transferés ici, qu’il s’agisse de l’art de la galanterie en trois cases chrono, du placement exact d’un poing velu dans une tronche veule, de l’usage récréatif de la boule de pétanque chez les cow-boys alcooliques et autres précisions question barabille sanglante et rififi photogénique, cette vitamine de la rétine.
Bref, de quoi sérieusement s’occuper.
Mais tout d’abord, les mèques, place à Béryl, une chouette pépée bien comme il faut, ex-effeuilleuse au Club Mickey et amatrice devant l’éternel de go-go-dancing à loilpé sur jerk explosif maxi-électrique.
Go baby go !
La suite au prochain épisode !